Notre étudiante, Valérie, nous parle de son livre « L’orbe sacré »

Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Vous entrez dans l’univers de Scythor, Grand Chef des hordes gholtoïes, qui lutte contre des traîtres, fomente des intrigues et renverse des alliances, dans les vies du jeune Aushard rêvant de batailles, de gloire et d’amour, de l’espion Dintao, de l’émouvante Luà, du petit Garuda toujours en quête de secrets, de la farouche guerrière Browena jamais asservie, de prêtresses omnipuissantes et de biens d’autres encore qui se battront pour dominer ou survivre, face à un imminent péril qui pourrait provoquer leur extinction.
L’histoire se passe sur le continent Léthie. Et même s’il s’agit de fantasy, ces femmes et ces hommes partageront avec vous de vraies émotions. Les événements vous happeront par leur réalisme, car il s’agit plus d’aventure que de merveilleux… Enfin, presque… car il y a l’Être de Lumière et les Dragons.

 

Pourquoi avoir choisi la formation proposée par Désir d’écrire ?

J’ai choisi de passer par votre formation car l’encadrement est souple.
Par ailleurs, le fait de payer m’obligeait à fournir un rendu régulier, à ne pas lâcher mon projet et à y croire.

En quoi la formation a été bénéfique dans la réalisation de votre projet ?

Avec vous, j’ai appris à structurer mes scènes, à ne pas m’éparpiller dans les sentiments de mes personnages, à aller à l’essentiel, donc supprimer (ce qui n’est pas évident quand on a mis plusieurs heures à l’écrire) certains extraits et à conjuguer mes verbes !

Quelles sont, selon vous, les qualités essentielles pour écrire un livre ?

Déjà, pour écrire un livre, il faut avoir envie d’écrire tout court, le livre vient après, mais une envie personnelle, intime et irrépressible.
Aucune autre qualité : il existe tellement de genres et de styles différents dans les livres que vous pouvez avoir le vôtre, juste : soyez sincère pour toucher vos lecteurs, allez au fond de vous.
D’ailleurs, écrire est un acte qui demande d’accepter la souffrance. Il est douloureux mentalement, quel que soit le genre abordé, de puiser au fond de sa vie et de ses propres sentiments (pour rendre réalistes ses personnages) et il est douloureux physiquement de demeurer assise de nombreuses heures devant l’écran. Donc écrire suppose des étirements, de la natation, des ballades, de la relaxation et une recherche intérieure …

Merci à mon correcteur, Pierre Fankhauser, pour ses précieux conseils, ses encouragements et son soutien inconditionnel.

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