Il y a de tout dans ce livre étonnant: de l’action, de la science, de la politique, de l’amour. Des personnages attachants dans un cadre exotique. Les frissons d’une traque à l’homme et ceux des enjeux fous de l’intelligence artificielle.
Dans Le quai du shogun, en pleine conférence internationale à Tokyo, un physicien quantique français disparaît en compagnie d’une espionne nord-coréenne. Une journaliste et un attaché de l’ambassade les recherchent, parallèlement à la police. Ajoutez-y un mystérieux jeu de pistes, un tremblement de terre, une prise d’otage, et découvrez un dénouement inattendu.
C’est un livre que j’ai eu le privilège d’accompagner, et dont la parution me fait particulièrement plaisir. Au début, je trouvais le projet ambitieux. Peut-être trop ambitieux pour un premier livre. Il avait besoin de réajustements. Jean-Louis Claudon en faisait un peu trop, comme souvent les nouveaux auteurs. Je ne savais pas trop ce qu’il retenait de mes commentaires, à presque 10 000 kilomètres de là: Jean-Louis Claudon vit depuis plus de quarante ans au Japon. Il était mon étudiant le plus lointain.
Quand j’ai reçu son manuscrit, il y a un an, j’ai admiré le résultat. Bien documenté, prenant et fluide. J’ai encore fait quelques remarques, il les a entendues. Bravo à lui, qui a su tirer le meilleur de cette formation.
Alain Maillard
Conseiller en écriture – Désir d’écrire
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